Au Togo, l’assainissement du secteur de l’éducation se poursuit. Le ministre des enseignements primaire, secondaire, technique et de l’artisanat, Dodzi Kokoroko, a annoncé jeudi 29 juin au moyen d’une note circulaire, la fermeture à compter de la prochaine rentrée scolaire (2023-2024), de plusieurs établissements en situation d’irrégularité.
En tout, ils sont 295, répartis sur tout le territoire national, considérés comme clandestins, n’offrant pas “un cadre sécurisé de formation et d’apprentissage”, et “surtout, n’assurant pas la qualité de l’enseignement tel que recommandé par la feuille de route gouvernementale”, tel que le relève le ministère.
En effet, une mission de contrôle des établissements scolaires, laïcs et confessionnels, a été menée en amont dans tout le pays, et permet à ce jour aux autorités éducatives de disposer d’un répertoire fiable et actualisé.
“Les parents d’élèves sont invités à orienter leurs enfants vers les établissements scolaires qui obéissent aux normes réglementaires, afin de leur garantir une formation de qualité”, a exhorté Dodzi Kokoroko.
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